Fourmillement intellectuel

en direct de : DKN-1249, Université Laval

Depuis que je suis en grève (par défaut…), j’ai l’impression de faire plus de choses.

En réalité, c’est tout le contraire; je n’accomplis strictement rien. Mais je pense beaucoup…. Beaucoup, beaucoup, beaucoup…

Je vous l’avoue, ce n’est pas toujours pour le meilleur que je réfléchis. J’ai des tendances à être trop sensible. Trop impressionnable, trop insécure et trop prompte... But so I am…

Et depuis quelques jours, mes neurones jouent une allégorie de fourmilière. Projets, réflexions, discussions… les idées se forment, évoluent, se mélangent, s’influencent, se partagent même ! Va et vient de pensées dans ma tête et à l’extérieur. I feel alive !

Constatation d’hier soir : dans la vie en générale, je suis plus une "conceptrice", mais je passe mon temps à forcer pour être "technicienne"… Je valorise tout le côté artistique des choses, mais je me refuse à m’en approcher.... Y’a pas comme une contradiction quelque part ? (Négation de mon moi-même ? doh ! ..... ou sempiternel "syndrome de l’imposteur"… aka « I’m an Outsider »…)
Réflexion à poursuivre…