mercredi, octobre 06, 2004

Tellement Belle au bois dormant que...

...je viens de me lever ! Et je déjeune en vous écrivant parce que 1) j'ai quelque chose à conter et 2) il est 9h15 et je devrais présentement être dans l'autobus si c'est pas déja rendu à l'université ! Le problème c'est que, vu que je me suis couché vers 1h du mat, j'ai bel et bien donner la claque sur le réveil à 7h30 ce matin, mais je me suis rendormie aussi vite ! Et je suis tellement Belle au bois dormant que j'ai rêvé de mon chevalier servant cette nuit...

Je crois que mon inconscient a voulu jouer les professeurs (ou les moralistes !) cette nuit et m'a fait réparé en rêve ce que j'avais aussi magistralement foiré la veille... Cette fois, en croisant Félix dans l'entrée du DeKoninck, j'ai non seulement souri (et lui aussi... il a un sourire tellement doux et réconfortant... comment ai-je pu passer devant lui sans m'arrêter ?!), mais je l'ai suivi à son cours... qui finalement s'est avéré notre cours, par la force des choses... Je ne sais pas trop ce que c'était, je n'écoutais pas du tout. Un cours d'histoire, sans doute. Je me suis donc retrouvée assise dans une des salles de classe du 3e étage du DeKoninck, au côté de Félix. Ce qu'on doit savoir c'est que dans ces salles les étudiants s'assoient à de petites tables rectangulaires à deux places... très petites.... et, l'état de sommeil paradoxal aidant, elles étaient encore plus petites qu'à l'habitude... Là vous me voyez venir à 100 miles à l'heure, n'est-ce pas ? Ouais, j'étais assez proche de mon Félix, disons-le... Et, comme je vous l'ai dit, je n'écoutais strictement pas le cours. Je le regardais plutôt, étudiant chaque détail. Puis, prise d'un envie soudaine de dormir (yeah right... pfff !), j'ai appuyé ma tête sur son épaule. De là, j'avais une vue magnifique sur ses yeux qu'il a tourné vers moi. Il a encore souri. J'ai appuyé ma joue contre la sienne. Le reste n'existait plus. Et là il a fait un move tellement hot (mais humainenement impossible) : il m'a tiré un peu vers lui (il était à ma gauche), s'est reculé légèrement et est passé derrière moi (toujours assis là !) pour coller son autre joue sur mon autre mienne.. Si vous avez suivi, bref, il me couvrait presque dans mon dos et j'étais presque sur lui. (En fait, c'est pas explicable, faut le voir en rêve pour comprendre...) Puis, il m'a dit tout bas, d'un ton mi-proposant mi-amusé : "Tu veux coller, toi, hein ?"... Et là, il allait dire autre chose et... *RÉVEIL* ! Calique ! Frustrée de pas avoir pu entendre la suite, je me suis virée de bord et je me suis rendormie.

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