vendredi, septembre 24, 2004

Vidange d'esprit

En vrac, tout ce à quoi je pense et tout ce qui me dérange...
(Attention, possibilité de chialage gratuit ou de réflexions trop profondes, genre creuses...)

  • J'ai mal à la tête. J'ai mal aux dents comme ça se peut pas. Je suis à la veille de m'acheter un tube d'Oragel et une bouteille de Tempra ! D'abord, j'ai déjà les joues rouges et enflées d'un bébé qui fait ses dents...


  • Je suis tannée d'être malade. Même si ça me donne une excuse auprès de tout le monde pour toutes les choses que je fais tout croche...


  • Il y a toujours pas de sens à ma vie. Même si je la bourre d'activités - et d'art autant que possible - ce n'est qu'artificiel et ça ne fait pas de moi une "artiste" ou quelqu'un d'intéressant. Et je ne sais pas écrire... Déception...
    Je n'ai aucun talent particulier. Juste une habileté commune à plusieurs choses... qui reviennent au même, au fond.


  • Ouverture du côté de Félix. Mais on se parle comme des gens civilisés depuis 3 semaines... Tant mieux, me direz vous. Non... Aucune intensité.
    J'essaie d'être orgueilleuse. J'y arrive mal... À bout de souffle, je lui ai déclaré mes regrets. "Peut-être..." Ouverture qui me laissa jubiler que peu de temps avant de me rendre à l'évidence : je me laisserai encore manipuler...


  • Si ça continue, je vais m'amouracher d'un gars de l'université. Pathétique. J'ai une faiblesse pathologique pour les beaux grands universitaires solitaires et romantiques... Faudra que quelqu'un me ramène à la réalité un de ces jours...


  • J'ai pour besoin primaire une marque d'affection que je ne reçois jamais...


  • "Oh ! Vas-tu donc me laisser si peu satisfait ?
    - Quelle satistifaction croyais-tu obtenir cette nuit ?
    - Le solennel échange de ton amour contre le mien."
    (Bon, est-ce que j'ai VRAIMENT besoin de citer ma source ici ? Shakespeare, Roméo et Juliette. Acte II, scène II... La scène du balcon, bande d'ignares ! :-P N.B. : aucune offense, je blague...)

Sur ce, je crois que retourner me coucher serait bénéfique pour mon corps comme pour mon esprit.

À la prochaine,
Portez-vous bien,
Zia

Si j'avais une cannette de peinture, je crierais sur les murs, de ma meilleure voix d'aérosol, "c'est la caresse de ta main sur ma cuisse que je veux !"


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